Flat-Outsider

Décapitons les bien-pensants avec des vinyles de Florent Pagny !

Dimanche 27 juin 2010 à 22:07

Aujourd'hui j'ai eu le plaisir de découvrir CA

Le choc des cultures a été explosif. Et je bénis les gens tordus et à l'humour pour le moins douteux d'exister.
On aura beau dire, les Massmedia, ca déchire grave. C'est comme une source de fraicheur dans cette journée toride à la température avoisinant les 33°. Je me sens comme une sorte de larve en décomposition ces temps ci.
Sinon mon aimée dénigre grave mon envie de rajouter du colorant bleu à de la purée pour en faire de la bouillie de schtroumpf. Les gens ne savent pas ce qui est marrant. Sauter dans une fontaine en plein Paris tout habillé devant une ribambelle de flics c'est très drôle par exemple. A la limite du jouissif.

Aujourd'hui j'ai mangé des Mentos Gay. Ca avait le goûts de "couilles de mamouth" et j'ai trouvé ça d'une ironie tout à fait licencieuse (L).

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Samedi 26 juin 2010 à 23:54

Il arrive aussi à ma chère et tendre personne d'échouer.
Rien qu'aujourd'hui, je me suis mystérieusement foulé la cheville. Il y a une sombre histoire de karma derrière tout ça. Et j'ai l'intime conviction d'être la réincarnation de quelques sombres personnages historiques devant expier toute une vie de péchés. Le karma bordel.


- Du coup... J'aurais eu 4 chances sur 8 d'y rester !
- Non, t'as oublier de compter les coins du bus.
- 12 chances de mourir ? T'es un peu monstrueuse !
- Hey, c'est pas moi qui me suis imaginée fauché par un bus et projeté dans un fossé pour finir par être écrasé par celui ci..
- C'est pas de ma faute si j'ai une imagination glauque et débordante.

 
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Mercredi 23 juin 2010 à 21:08

- J'ai décidé que la 45ème tentative serait la bonne.

L'échec croulant que je suis à vraissemblablement décidé de se remuer les miches pour pondre un truc à peu près potable que j'aurai l'audace d'appeler, 'un prologue'. Prologue ça fait moins pathétique que 'commencement' et vachement plus classe que 'présentation'. Oui, il s'avère que la distinction à, ici, une importance capitale si ce n'est primordiale.
Alors pour aujourd'hui je ferais l'effort surhumain de mettre de côté toute litote ironique ou autres procédés vaseux et mesquins dont je suis pourtant accro. J'irais épargner votre sensibilité de mes trop nombreux paradoxes linguistiques qui somme toute sont assez révélateur de -mon humble et sympatique- ma personne (Oups ?).

Non, vraiment. Mise à part une subtilité et une finesse à faire hurler les quasi-morts (quoi que, je connais pas mal de vioc' qui ne sont pas en reste !) j'ai quand même quelques principes. Principes qui me causent grands tords dans cette société matérialistico-perfectionsite reposant sur un cortège de non dit et de silences évocateurs (Oui ! Voyez ! En plus d'avoir de gros seins je suis aussi engagé).

Enfaite j'aime pas me taire. Et encore moins taire certaine chose. La demi mesure, ça n'existe pas, c'est un peu comme les questionnaires vrai/faux. C'est soit tout, soit rien, et surtout, pas d'entre milieu qui ont le don de me faire maudir les nuancés.
De ce fait, je travaille beaucoup sur certains concepts que beaucoup considèrent à tord comme acquis. L'honêteté, la vérité, toussa quoi. Ouais, ca déchire sa race n'est ce pas ? Du coup, j'ai du mal à ne pas franchir les quelques cloturages champestres et estivales trop cutty qui entourent ces délicieuses notions. Sociabilité et méchanceté. Bah oui, parce que quand t'as l'honnêteté de dire en face à Marie-Lou que son top Pimkie à 4£50 il pue grave du z'boub bah beaucoup conidèrent ça comme de la méchanceté. Et paye ton honneté moi je te le dis. Du coup, paye tes amis aussi ;D.

Ahhh un enchevêtrement de causes à effets tout simplement cataclismique. De toute beauté, moi je vous le dis. Ou alors est-ce d'effet à cause ? J'imagine que ca dépend du point de vue.
Tout ca pour dire que je prône la vérité-la-seule-la-grande-la-magnifique et qu'il ne résidera en ce lieu qu'un parfait mélange de bonne foi, de franchise, d'intégrité tout celà dans une atmosphère mordante régit par un tyran positivo-négatif et de surcroit, caustique (On avait dit pas de paradoxe linguistique mais bon, j'vous emmerde). Positivo négatif, c'est quelqu'un dont la pensée n'aquiece qu'en faveur d'un négationisme noir et accablant.. On s'habitue vite aux néologismes vous savez. C'est une cadence à suivre tout a fait banale. Pas que je le sois. (Quoi ?)

Et pour finir, je ne finirai pas. C'est une bonne fin pour un prologue.
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